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Au banquet de la vie, infortuné convive,
J'apparus un jour, et je meurs.
Je meurs ; et, sur ma tombe où lentement j'arrive,
Nul ne viendra verser des pleurs.
Salut, champs que j'aimais ! et vous, douce verdure !
Et vous, riant exil des bois !
Ciel, pavillon de l'homme, admirable nature,
Salut pour la dernière fois !